devient le Laboratoire d’Anthropologie Politique (LAP)

La dernière Constitution Politique de l’Equateur est la première dans le monde à intégrer les principes du « Sumak Kawsay » ou « Bien vivre » ainsi que les « droits de la Nature » proposés par le mouvement indigène équatorien. Depuis son approbation, cette Charte juridique est devenue le fondement de la vie politique et institutionnelle du pays à travers la redéfinition de divers aspects relatifs à la culture, la nature, le territoire. On assiste à un processus où le discours met l’accent sur l’importance de la place occupée par la nature dans la vie de l’homme pour promouvoir un autre type de « développement ». Le cas spécifique du Parc National Yasuni, situé en Amazonie équatorienne et le projet de non exploitation du pétrole dans ce parc -Initiative Yasuni ITT- proposé par le gouvernement équatorien, nous aideront à analyser ce moment particulier du contexte national et mondial, de revendication d’un autre modèle de développement.

Mots clés : Bien Vivre, peuples autochtones, territoire, développement.

Cursus :

 2012 : Première année de Doctorat en Anthropologie et Ethnographie sociale à l’Ecole de Hautes Etudes en Sciences Sociales (EHESS), Paris.

 2011 : Obtention du diplôme de Master Recherche à l’Ecole de Hautes Etudes en Sciences Sociales (EHESS), Paris.

 2009 : Obtention du diplôme de Maitrise (Spécialité Anthropologie) à l’Institut des Hautes Etudes de l’Amérique latine IHEAL- Université de Paris Sorbonne Nouvelle.

 2008 : Etudiante de l’Institut des Hautes Etudes de l’Amérique Latine IHEAL, 1er. Année de Master, « Sociétés Contemporaines. Spécialités « Etudes latino- américaines » et « Relations Amérique latine- Europe » Spécialité Anthropologie.

 2007 : Obtention de la Licence en « Comunication Sociale », Université de Cuenca Equateur.